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Se libérer du passé pour mieux vivre le présent

1 mai 2014

Elle ou moi

"Elle", "Ma femme", voilà des mots que je ne peux et ne veux plus entendre. Marcher dans ses pas, m'asseoir dans son canapé, diner dans ses couverts, câliner et faire l'amour à son mari... Et toi, toi tu ne sais pas, tu me clames ton instabilité, et quand je te dis que je vais faire ma vie de mon côté tu me l'accordes avec regrets.
Si toi tu n'as pas eu le courage de prendre une décision et bien moi j'ai eu le courage de passer au dessus de tout ça et de me dire que nous étions amis/amants et que ça s'arrêterait là. Et je fais ma vie, oui, jamais je ne passerai à côté d'une histoire qui pourrait m'épanouir et me rendre heureuse.
Moralité... Je crois que, de nous deux, la paire couilles c'est moi qui l'ai !!

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21 avril 2014

Mon joli bonheur

Toucher le bonheur du bout des doigts, se dire qu'il est là ce fichu bonheur et que cette fois ci il ne s'envolera pas, et puis si, il me file sournoisement entre les doigts. Il m'a nargué, m'a fait gouter à ses délices sucrés, il est venu danser, là, tout autour de moi, tel un petit diable hilare, mais il s'en est allé puis il est revenu puis est de nouveau parti.
Mais je t'aurai joli bonheur, je t'aurai tout simplement parce que je te veux !!!

15 avril 2014

Douce mélancolie...

Ne reste que les odeurs, les parfums et le souvenir de l'ivresse de ce bon moment passé... Un moment de partage si bon, si simple et enivrant qu'on voudrait que le temps s'arrête et qu'il ne reste plus que nous, nous et nos rires, nous et nos débats, nous et nos ébats... La même ritournelle de bonheur à chacun de nos rendez-vous, mais... Ce MAIS ne me plaît guère à chaque fois que la porte se referme sur toi. Et tu me laisses, là, avec ton odeur, ce doux parfum qui me rappelle ta présence le temps de quelques heures. Puis je vais essayer de m'endormir sans mes somnifères, oui sans mes somnifères puisque mes somnifères ce sont... tes bras.

14 avril 2014

Délice d'une nuit

Tes doigts d'ében ruissellent doucement sur mon corps. Ils descendent, puis remontent, puis redescendent, effleurent la fleur déjà éclose puis s'enfuient, je deviens folle, folle de désir, le souffle de plus en plus court... Tu y viens, enfin, ma soif de désir enfin assouvie, je me débats, je tremble, je me cambre sous la valse incessante de tes doigts audacieux et curieux. Je ne sais plus où j'en suis, je danse, me tortille, me tords... Quelle est cette douce torture que je veux à la fois brève et interminable ? Arrête, je n'en peux plus ! Continue ! J'ai la tête qui tourne, des étoiles dans les yeux, la bouche sèche de mes halètements. Le corps tendu de plaisir, je mords l'oreiller pour ne pas hurler de bonheur.
Puis vient le moment, l'envie d'enlacer nos deux corps. Que c'est bon de sentir la chaleur de ta peau contre la mienne. Et reprend cette exquise souffrance... A la fois bestial et tendre tu sais mener la danse, tu me rends folle, insatiable de toi, de ton corps.
Dans un dernier soupir de plaisir nous nous blottissons, l'un contre l'autre, encore essouflés de ce moment si magique...

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